Quitter la prison du mental : 3 clefs fondamentales ? Ah bon !?
Quitter la prison du mental ne s’apprend pas à l’école.
Votre bien-être intérieur n’a pas de prix. Rien ne peut d’ailleurs l’acheter. Mais vous disposez de 3 clefs fondamentales d’accomplissement.
Hé oui parce qu’il ne s’agit pas de faire travailler votre mémoire pour retenir toutes les recettes à appliquer pour vous sentir serein tout au long de vos journées. Il s’agit de VOIR et de LIBERER votre potentiel d’action qui se trouve au FOND de VOUS-MEME, grâce à trois éléments essentiels qui couvrent toute l’étendue de votre Existence.
Mais surtout ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Tout au long de mon étude personnelle, j’ai énormément lu d’ouvrages sur le développement personnel, la pleine conscience, la psychologie existentielle. Et je continue, même en tant que consultante, car le travail de découverte de Soi ne s’arrête jamais. Et tant mieux, car c’est passionnant à vivre au quotidien. Tellement que cela devient essentiel. La dispersion qui consiste à combler LE vide existentiel n’est plus de mise.
Mais alors comment quitter la prison mentale !?
Vous allez vous dire “Que raconte-t-elle ? Elle nous dit qu’elle aime les ouvrages indiquant les “bonnes pratiques” et en même temps elle nous dit que cela n’est pas concret…”
Le verrou est le suivant : ce qui est conseillé peut s’appliquer si on est très très très sérieux et qu’on ne se laisse pas embarquer par des habitudes anciennes et trop bien ancrées.
Même la plus belle et la plus intelligente des théories
reste virtuelle tant qu’elle n’est pas mise en pratique
Ne riez pas, car c’est malheureusement ce qui se passe, trop souvent, une fois qu’on a terminé sa lecture “enchantée”.
C’est là qu’interviennent les 3 clefs fondamentales du bien-être intérieur
Plus question de garder en mémoire des recommandations et tenter de les appliquer au mieux suivant les jours, les évènements ou sa fatigue.
Il s’agit d’une compréhension totale, tellement ancrée donc, qu’elle ne pourra plus vous quitter… d’autant qu’elle est là en vous. Il suffit juste d’ouvrir la porte vous-même…
Ces trois clefs sont rattachées à votre centre, à votre source.
Il s’agit simplement de porter un regard différent sur votre vie intérieure.
Pour ouvrir la prison mentale : une pensée à penser – CLEF n° 1
Avant d’entrer…il faut savoir qu’à la base d’une émotion, il y a toujours une pensée. C’est très rapidement et furtivement qu’une pensée glisse vers l’émotion.
La pensée est très donc très importante, cela vous le savez bien. Mais être assez présent pour penser sa pensée l’est encore plus. Pour être serein, soyez puissant... Pour être puissant, soyez serein ! Gagnez cette force : être celui ou celle sachant décider quoi faire d’une pensée qui arrive. Non pas combattre ses pensées -ce qui est impossible et ne fait que renforcer le système de manière encore plus souterraine
C’est très simple : la pensée qui vient d’arriver est-elle UTILE OU INUTILE?
Si elle est utile, elle est là pour faire la liste de vos courses et autres nécessités, préparer un examen ou un voyage au long cours, ou écrire un…blog (Hahaha !!!)
Si elle est inutile, elle RUMINE sur le passé : “Ah quand j’étais à …ou avec…ou jeune…!!!”. Elle peut aussi passer du…passé au futur (sans… passer…par le présent).
Un exemple :”Pourvu que telle catastrophe que j’ai vécue il y a 5 ans ne se reproduise pas…”
Et bien sûr je ne vous fais pas la liste de tout ce que vous imaginez qui pourrait se produire de négatif (ben voyons…).
Qui mieux que vous peut, à l’instant même où une pensée arrive (parce que c’est sûr elle va arriver), faire PAUSE et utiliser LA CLEF “UTILE OU INUTILE ?”
Et là, vous n’êtes pas obligé(e) de me croire sur parole cette pensée aura eu lieu, oui. Mais elle ne vous aura pas “bouffé”. Car vous aurez vu son petit et ancien manège. Vous allez gentiment lui dire que vous n’avez vraiment pas besoin d’elle.
A quoi vous sert-elle ? Sinon à vous faire du mal si vous la laissez agir à sa guise. En quelque sorte sans que vous soyez vraiment là ?
Et ce qui est merveilleux, c’est que vous allez pouvoir renouveler votre approche dès qu’elle va tenter de…s’approcher de nouveau.
C’est VOUS qui décidez, vous qui choisissez… Une pensée revient oui, mais VOUS AUSSI…
Vous devenez intégralement RESPONSABLE
de ce que vous vivez intérieurement
La “responsabilité”, c’est la “response ability”, c’est-à-dire “la capacité à répondre”
Alors, prêt à accueillir vos pensées, tel “un chevalier sans peur et sans reproche” ?
Je m’adore (et oui, j’ose) quand je fais une telle transition. Coup double en plus pour celle-ci :
Le minimum pour quitter la prison mentale : “S’aimer à 200 % (au moins !)” – CLEF N° 2
…sans reproche… ne veut pas dire que l’on n’est pas responsable de ses actes (manquerait plus que ça !).
Bien au contraire, si on est responsable, on saura voir si on peut réparer en actes ou en paroles quelque chose qu’on estime avoir mal fait ou pas bien dit.
Oui cela est possible : tant que cela dépend de nous. Si ce n’est pas possible, il va falloir l’accepter et passer à autre chose, lâcher-prise, ne pas…ruminer…
Quand on est responsable, on agit mais on ne se traite pas “de nul”, “de misère ambulante”. On ne se dit pas que nos parents avaient raison quand ils le suggéraient…
En clair, on ne porte pas un jugement genre condamnation sur soi-même…
Car ce soi-même…s’aime au point de reconnaître, de savoir et se rappeler qu’il est un être humain, pas un robot , qu’il n’est pas parfait, que personne ne l’est, et que l’erreur est possible. Elle est même nécessaire pour avancer…
Pourquoi se faire du mal quand on peut se faire du bien ?
Ce “soi-m’AIME”, qui n’est pas narcissique car il ne se croit pas le plus beau, le plus fort bien au contraire, est assez “rempli” pour ne pas (ne plus…) dépendre du regard, et même de l’Amour d’Autrui.
1° Pas de danger qu’il soit envahir par la comparaison ni dans un sens ni dans un autre : il a retiré de son vocabulaire non seulement le superlatif, mais aussi le comparatif.
2° Il ne va pas se laisser prendre émotionnellement par une pensée induite suite à une remarque blessante, réveillant par exemple quelque chose de déjà vécu…dans le passé…
3° Aucune une pensée-dialogue intérieur du genre : “j’aimerais tellement lui ressembler”. La pensée va arriver. Mais le “soi-m’AIME” sera là pour la voir et lui dire calmement : “ça ne me ressemble pas de vouloir… ressembler à quelqu’un d’autre car j’aime et j’accueille qui je suis INCONDITIONNELLEMENT”.
Le respect de soi-même n’est pas compatible avec un sentiment d’infériorité ou de supériorité
Alors vous allez me dire : “c’est bien gentil tout ça, la comparaison, le jugement, etc…” mais qu’est-ce que je fais de tous mes autres problèmes, de toutes ses inquiétudes surgissant au fil de mon existence”.
Pas de panique, il est reste une clef.
Quitter la prison mentale : résoudre le problème…des problèmes – CLEF n° 3
En réalité, je vais vous dire un secret : la plupart des problèmes viennent du fait qu’on fait des problèmes… un problème.
Je vous assure, cette troisième clef délivre sans délire.
Le regard sur la Vie est tout à fait différent si, au lieu de résoudre un problème,vous relevez un défi
Mais encore….
Psychologiquement parlant, bien sûr, je suis donc seul face à un problème. Pourquoi est-ce que cela est devenu un problème ? Si je ne peux rien y faire, ce n’est pas un problème. Ce n’est que lorsque je crois pouvoir faire quelque chose que cela devient un problème. Alors si je peux faire quelque chose, cela veut dire que, plus qu’un problème, c’est un défi qui me demande d’être ACTIF.
. dans l’action extérieurepour chercher des solutions à la situation pratique qui s’impose..
. mais aussi pour l’action intérieure d’accueil de la situation mentale “problématique”, car conditionnée, chaque fois qu’elle remontre le bout de son nez. Le mieux est de lui dire que je ne peux lui consacrer du temps puisque je suis occupé à… ma stratégie d’actions pour résoudre le défi que la Vie me présente.
Prenez-soin “de ce qui est” vraiment, de vos actions sur le Réel : c’est cela se “soucier” quand ce n’est pas pris négativement…
C’est ainsi que les “soucis” (communément interprétés), plus que de n’avoir pas LEUR place, n ‘auront plus DE place.
En résumé avec ces 3 clefs fondamentales pour quitter la prison du mental :
Vous vous aimez (grâce à la clef 2) au point de vous faire confiance et d’entrer dans le feu dans l’action :
1° en la présence consciente d’une pensée (clef 1) UTILE (stratégique et donc ré-fléchie)
2° ET en la présence conscientisée, donc sans identification, de la pensée INUTILE (vous savez celle qui rumine, suppose et s’effraie toute seule !),
Vous l’avez bien compris : ces 3 clefs sont totalement imbriquées. Maintenant vous savez que vous êtes l’unique détenteur du trousseau. Enfin vous savez être unique décideur de son utilisation. Vous êtes libre de devenir libre.
Pas cette liberté où “l’on fait ce que l’on veut” mais celle du niveau le plus haut du bien-être : la puissance sur soi-même.
Oserais-je dire : “VOUS AVEZ LES… CLEFS EN MAIN”
Vous avez bien compris aussi que je suis fan inconditionnelle de la mise en pratique, alors je vous offre un BONUS : un truc qui va vous permettre d’intégrer totalement la vision de ce qui est déjà en vous et qui ne demande qu’à VIVRE.
Faites-vous un trousseau spécial et joyeux de 3 clefs et gardez-le sur vous, avec vous, y compris près de votre réveil matin, pour vous rappeler immédiatement comment vous avez décidé de vivre votre journée la veille, pour recommencer aujourd’hui et demain…
C’est à dire comme cela :
Si, malgré tout, l’idée d’un trousseau supplémentaire vous effraie, ou bien s’il ne suffit pas, vous trouverez sur mon https://www.realisation-existentielle.fr/contact/, la possibilité de vous abonner mensuellement à des rappels quotidiens, sous diverses formes. Ces rappels consisteront à vous aider à la Présence à vous-même, celle qui vous permet d’avoir un regard intérieur puissant : capable de Voir les conditionnements sociétaux et/ou psychologiques qui cherchent à vous gouverner ; capable de se distancier des pensées et émotions ; capable de quitter l’esclavage lié aux affres mentaux.
Le harcèlement scolaire est un problème de plus en plus préoccupant qui touche de nombreux enfants et adolescents à travers le monde. Si ses manifestations sont souvent visibles à l’école, il est crucial de comprendre que les racines du harcèlement scolaire sont familiales. Donc, il est urgent de mettre en lumière l’importance de l’éducation émotionnelle, de l’observation, et du soutien familial pour prévenir ce fléau.
ÉTAT DE LIEUX
Parents absents
L’une des racines profondes du harcèlement scolaire réside dans l’absence des parents. Des parents occupés par leur travail ou d’autres préoccupations peuvent négliger le temps qu’ils passent avec leurs enfants. Ce manque d’attention peut conduire les enfants à chercher des relations ailleurs, parfois avec des “copains” peu recommandables. Notez bien que présence ne veut pas dire qu’il faut plus de temps, mais plus de qualité relationnelle.
Le silence émotionnel
Le harcèlement scolaire est souvent exacerbé par un manque de communication émotionnelle au sein de la famille. Les parents ne laissant pas leurs enfants exprimer leurs émotions parce qu’eux-mêmes ne savent pas comment le faire créent un environnement où les sentiments sont réprimés. Les enfants peuvent alors chercher à exprimer leur frustration d’autres manières, parfois en devenant les agresseurs à l’école.
Des limites floues
Un cadre où les limites ne sont pas clairement définies, où les repères sont manquants peut également contribuer aux racines familiales du harcèlement scolaire. Les enfants ont besoin de lignes directrices solides pour comprendre les conséquences de leurs actions. Avec des règles familiales sont floues ou non tenues, c’est plus difficile pour les enfants de développer un sens de la responsabilité et du respect des autres.
L’isolation du “harcelé”
La victime de harcèlement scolaire n’est souvent pas suffisamment observée ou soutenue en famille. Les signes de harcèlement, tels que le repli sur soi, les problèmes de santé mentale et les baisses de résultats scolaires, peuvent passer inaperçus si les parents ne sont pas attentifs. Cette absence de soutien familial peut aggraver le processus de victimisation. L’ enfant se sent alors seul et impuissant.
EN CONCLUSION
La prévention commence en famille
Pour lutter contre le harcèlement scolaire, il est essentiel de reconnaître son origine possible au sein de la famille. Les parents doivent s’efforcer de créer un environnement familial où les émotions sont encouragées, les limites sont claires et les enfants se sentent soutenus. L’observation attentive des changements de comportement chez les enfants est également cruciale pour détecter les signes de harcèlement scolaire à un stade précoce.
Cela commence à la maison mais on est tous responsables
Le harcèlement scolaire est un problème complexe, et sa prévention commence à la maison. Les parents ont un rôle essentiel à jouer pour éduquer leurs enfants sur la bienveillance, les émotions et le respect des autres. En créant un environnement familial sain, les parents peuvent contribuer à briser le cycle du harcèlement scolaire. Ainsi ils protègent leurs enfants, ainsi que ceux des autres, des effets dévastateurs de cette forme de violence. Le harcèlement scolaire ne doit pas être toléré, ni à l’école ni à la maison, et il est de la responsabilité de tous de travailler ensemble pour le prévenir ou l’éliminer.
La parentalité est un voyage tumultueux où l’imperfection est la seule constante. Dans cet article, nous allons voir qu’il est essentiel de briser le mythe du parent parfait Nous discuterons également de l’équilibre délicat entre la vie professionnelle, personnelle et familiale, tout en mettant l’accent sur la guérison de notre enfant intérieur pour devenir des parents plus compatissants et responsables.
Le mythe du parent parfait
Élevons nos voix pour briser le mythe du parent parfait, car il n’existe tout simplement pas. La parentalité, c’est un voyage où l’imperfection est la seule constante. Nos enfants mettent nos nerfs à rude épreuve, nous confrontent à des défis inattendus, et nous font questionner nos compétences parentales. Et devinez quoi ? C’est tout à fait normal.
L’équilibre délicat de la vie de parents
Mêler la vie professionnelle, personnelle et familiale est un véritable numéro d’équilibriste. Jongler entre réunions au travail, courses après l’école, dîners à préparer, et moments de qualité avec nos enfants peut sembler insurmontable. Mais rappelons-nous que nous faisons de notre mieux, chaque jour.
L’impact de notre histoire personnelle
Nos réponses aux comportements de nos enfants parlent davantage de notre propre histoire. Nos expériences passées influencent nos réactions. Cependant, il est important de comprendre que nos façons de réagir ne viennent pas uniquement de notre histoire lointaine.
Éviter le piège de la perfection
Enfin, le complexe de la parentalité n’est pas forcément compliqué. Chercher la perfection et imposer des attentes irréalistes à nous-mêmes est le vrai piège. La simplicité, c’est d’accepter que la parentalité est un voyage de hauts et de bas, un équilibre entre la compassion envers nous-mêmes et la responsabilité envers nos enfants.
Guérir notre enfant intérieur
Cette compassion et responsabilité, nous pouvons les trouver en guérissant notre enfant intérieur. En explorant nos propres blessures d’enfance et en les traitant, nous devenons mieux équipés pour comprendre et soutenir nos propres enfants.
Célébrer l’imperfection
Trouvons la beauté dans cette quête inachevée. Admettons que nous ne serons jamais parfaits, mais que chaque pas compte. Ensemble, parents, embrassons l’imperfection et célébrons les moments de joie, d’amour et de croissance au sein de nos familles. C’est là que réside la véritable perfection, dans la réalité de la parentalité. C’est là que se trouve la véritable perfection : une quête inachevée, mais belle.
Conclusion
En fin de compte, la parentalité est un voyage passionnant et tumultueux, où la perfection est un mirage. En brisant le mythe du parent parfait, en équilibrant nos vies professionnelles et familiales, en explorant notre histoire personnelle, et en embrassant l’imperfection, nous pouvons trouver la véritable perfection dans l’amour et la croissance au sein de nos familles.
C’est un voyage inachevé, mais d’une beauté indéniable.
Les blessures émotionnelles sont celles de l’enfant intérieur ou de l’adulte ?
La quête de l’enfant Intérieur :
L’enfant intérieur est le reflet de l’essence pure que nous étions dans notre jeunesse. C’est là que résident nos rêves, nos passions, nos peurs et nos blessures non guéries. Cultiver une relation saine avec cet aspect de nous-mêmes peut être le catalyseur de l’épanouissement émotionnel, mental et même spirituel. C’est possible de guérir votre enfant intérieur en 5 étapes transformatrices.
Être parent est l’une des expériences les plus gratifiantes de la vie. Cependant, il peut également être l’un des défis les plus éprouvants émotionnellement. Pour de nombreux parents, les difficultés émotionnelles et relationnelles qu’ils rencontrent avec leurs enfants sont déconcertantes et souvent déroutante
La vie adulte nous amène souvent à traverser des territoires complexes de responsabilités, d’obligations et de défis. Cependant, dans ce tourbillon, il existe un compagnon de jeu intérieur que nous négligeons trop souvent – notre “enfant intérieur”. C’est une part de nous qui conserve la pureté, l’innocence et la créativité de notre enfance. L’exploration de cet espace sacré peut nous ouvrir des portes pour guérir et transformer nos vies d’une manière profonde et significative.
Les émotions parentales non résolues
Imaginez-vous en tant que parent. Vous vous sentez peut-être souvent submergé par des émotions qui semblent surgir de nulle part. La frustration, la colère, la tristesse peuvent surgir à des moments inattendus, et parfois, vous ne savez même pas pourquoi. Ces émotions peuvent être le résultat des blessures de votre propre enfant intérieur non résolues.
Les causes du problème : Ces émotions tumultueuses sont souvent le produit de votre propre enfance. C’est ainsi que les blessures non guéries, les traumatismes passés,
les attentes non satisfaites, tout cela peut se manifester dans votre vie adulte, affectant vos interactions avec vos enfants.
Les conséquences si le problème persiste
Lorsque ces émotions non résolues persistent, elles peuvent avoir un impact dévastateur sur votre relation avec vos enfants. Les conséquences sont nombreuses et peuvent inclure :
Un écart émotionnel : Vos enfants peuvent ressentir que vous êtes distant émotionnellement, ce qui peut affecter leur propre confiance en eux et leur bien-être émotionnel.
Des conflits fréquents : Les émotions refoulées peuvent se manifester sous forme de colère ou de frustration envers vos enfants, entraînant des disputes fréquentes.
Un modèle destructeur : Vos propres difficultés émotionnelles peuvent devenir un modèle pour vos enfants, qui pourraient reproduire ces schémas dans leur existence.
C’est pourquoi il est essentiel de ne pas négliger le fait que vous êtes les parents de futurs parents.
Guérir l’enfant intérieur en 5 étapes transformatrices :
Reconnaître le conflit intérieur : le premier pas pour guérir l’enfant intérieur est de reconnaître les schémas de conflit et les blessures émotionnelles qui continuent à résonner dans notre vie adulte. Bien sûr, cela nécessite un espace sûr pour plonger profondément dans notre propre histoire et nos émotions refoulées.
Agir en adulte aimant et oser des questions pour comprendre : en adoptant une posture d’adulte aimant et compatissant envers nous-mêmes, nous pouvons explorer les moments clés de notre enfance qui ont laissé des empreintes. Le plus souvent possible, posez-vous des questions comme : “Quand ai-je ressenti cela pour la première fois ?” et”Comment cela a-t-il influencé mes choix
actuels ?”
Dialoguer avec son enfant intérieur et être attentif à ses besoins : imaginez-vous assis en face de votre enfant intérieur, lui offrant une oreille attentive. Écoutez ses besoins non satisfaits et ses émotions refoulées. Alors, en reconnaissant ces besoins, vous commencerez à réparer les liens avec cet aspect de vous-même.
Dialoguer avec le soi et demander de l’aide : après avoir entendu les besoins de votre enfant intérieur, établissez un dialogue entre vous en tant qu’adulte et votre propre Soi. Pare exemple, posez des questions telles que : “Comment puis-je répondre aux besoins de mon enfant intérieur de manière saine et nourrissante ?” Demandez également de l’aide intérieure et extérieure pour soutenir ce processus.
Agir et répondre aux besoins de l’enfant intérieur et de l’adulte : cette étape, il est temps de mettre en pratique les insights gagnés. Répondez aux besoins de votre enfant intérieur avec amour et compassion. Outre cela, créez des moments de joie, de créativité et de jeu pour nourrir cet aspect de vous-même. En même temps, continuez à agir en adulte responsable pour gérer les défis de la vie quotidienne.
Comment la guérison de l’enfant intérieur en 5 étapes transforme des Vies
8 études de cas
Maintenant, explorons comment la guérison de l’enfant intérieur peut avoir un impact transformateur en examinant des études de cas concrets :
Étude de Cas 1 : Guérir les blessures d’abandon pour des relations épanouies Mark avait toujours ressenti une sensation d’abandon qui affectait ses relations. En très peu de temps, en reconnaissant ces schémas et en dialoguant avec son enfant intérieur, il a libéré des émotions refoulées et s’est ouvert à des connexions plus profondes et plus authentiques.
Étude de Cas 2 : De la peur à la confiance – Le pouvoir de l’enfant Intérieur Sarah a lutté avec la confiance en soi depuis des années. Grâce à la plongée dans son enfant intérieur, elle a redécouvert sa propre valeur et a transformé son manque de confiance en une assurance rayonnante.
Étude de Cas 3 : Exploration créative de l’enfant Intérieur Michael, à travers des activités créatives, a libéré des émotions enfouies et a redécouvert la joie d’être lui-même. Ainsi, sa créativité l’a guidé vers la guérison et l’expression authentique.
Étude de Cas 4 : Guérison Intérieure pour un avenir professionnel épanouissant Laura a utilisé les passions de son enfant intérieur pour redéfinir sa carrière. Avec la reconnexion avec sa véritable essence, elle a trouvé un sens plus profond dans son travail.
Étude de Cas 5 : Transformer le Traumatisme par la Connexion à l’Enfant Intérieur David a transformé son traumatisme en explorant en toute sécurité son enfant intérieur. Finalement, son cheminement de guérison a conduit à une libération émotionnelle profonde.
Étude de Cas 6 : Dialogue Intérieur pour Équilibrer les Émotions Emma a appris à gérer ses émotions en dialoguant avec son enfant intérieur. Par des réponses appropriées à ses besoins émotionnels passés, elle a gagné en stabilité émotionnelle.
Étude de Cas 7 : Guérison de l’Enfant Intérieur pour Libérer la Créativité Daniel a libéré sa créativité en se connectant à son enfant intérieur. C’est ainsi que ce voyage a ouvert un flux créatif qui a enrichi sa vie quotidienne.
Étude de Cas 8 : Réconciliation Familiale par la Guérison Intérieure Rachel a surmonté des conflits familiaux en entreprenant un voyage de guérison intérieure. Au travers du lien renouvelé avec son enfant intérieur, elle a pu rétablir des relations saines.
Conclusion : Une nouvelle harmonie intérieure grâce à la guérison de votre enfant intérieur (en 5 étapes)
Écoutez, Guérissez, Transformez
La guérison de l’enfant intérieur est un voyage émotionnel profond. Ces études de cas révèlent que le dialogue avec notre enfant intérieur peut conduire à une libération émotionnelle, à une transformation de la confiance et à une connexion avec notre véritable essence. En écoutant cette partie de nous, nous ouvrons la porte à un épanouissement authentique et durable.
La solution pour les parents en difficulté émotionnelle réside dans la guérison de leur enfant intérieur. Mon programme de guérison de l’enfant intérieur vous guide à travers un voyage transformateur. En travaillant sur vos propres blessures émotionnelles, vous pouvez :
Réduire les conflits familiaux : en guérissant vos propres blessures, vous pouvez créer un environnement familial plus harmonieux.
Améliorer la communication : en écoutant votre enfant intérieur, vous serez en mesure de mieux comprendre les besoins émotionnels de vos enfants et de communiquer plus efficacement.
Cultiver des relations saines : en guérissant votre propre enfant intérieur, vous serez mieux préparé à nourrir le développement émotionnel de vos enfants, favorisant
ainsi des relations familiales plus saines.
Semez les graines en cultivant votre enfant intérieur
Cultiver une connexion saine avec votre enfant intérieur est une quête profonde et libératrice. En travaillant à guérir et à nourrir cette part de vous-même, vous créez un espace d’harmonie intérieure qui se répercute sur tous les aspects de votre vie. La guérison de l’enfant intérieur ne se limite pas à vous, mais crée une fondation solide pour des relations plus authentiques, une créativité épanouie et un bien-être profondément ancré.
En choisissant de travailler sur votre propre enfant intérieur, vous pouvez briser le cycle des émotions non résolues et créer un environnement familial empreint d’amour, de compréhension et de croissance émotionnelle. Dans ce voyage intérieur, souvenez-vous que chaque étape compte, chaque dialogue est un acte de guérison et chaque action est une graine plantée pour un avenir radieux. N’ayez pas peur d’explorer les recoins de votre cœur, car c’est là que la magie de votre propre croissance intérieure prend racine et fleurit.
Gardez votre cœur ouvert à votre enfant intérieur, et laissez cette relation sacrée vous guider vers une vie plus riche en épanouissement et en accomplissement, pour vous, pour eux, pour tous…
Le programme proposé vous permet de passer de la tension à l’absence de tension grâce à l’attention.Vivre sans tension et en harmonie est le souhait de chacun, mais nos inquiétudes souvent échappent à notre contrôle. Malgré nos efforts, il peut sembler que les choses échappent à notre maîtrise, créant un cycle d’anticipation et d’anxiété.
Les sages nous conseillent d’accepter ce qui ne peut changer, agir courageusement sur ce qui est possible, et discerner la différence entre les deux. Toutefois, cela n’est pas simple à mettre en pratique. La plupart luttent avec persévérance et parfois déni, mais il est possible de vivre sans souffrances inutiles.
POUR VIVRE SANS TENSION, L’ATTENTION EST LA CLEF
La clé réside dans notre capacité d’attention, malheureusement compromise dans notre ère moderne. Le manque d’attention engendre stress, instabilité émotionnelle, anxiété, et perturbe les relations sociales, entraînant un sentiment de vide et de dépression.
Cette détérioration de l’attention trouve sa source en partie dans nos systèmes de récompense, stimulés par les distractions. La surutilisation des appareils électroniques fragilise cette capacité fondamentale.
Pourtant, la solution est à portée de main. Vous pouvez cultiver votre attention pour vivre avec sérénité. En développant cette aptitude, vous ferez face à l’imprévu avec calme, détachement et concentration sur l’essentiel.
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Fausse pensée sur le besoin de sécurité et comment le résoudre
Si une personne pense que de résoudre le problème du besoin de sécurité dépend uniquement des circonstances extérieures ou de l’absence de dangers tangibles, elle peut avoir du mal à résoudre le problème de sentiment de sécurité de manière efficace.
Raisons pour lesquelles il est problématique de penser que résoudre le problème du besoin de sécurité dépend de circonstances extérieures :
Dépendance externe
Si l’on est conditionné à croire que résoudre le problème du besoin de sécurité dépend uniquement des circonstances extérieures, on peut devenir dépendant de ces facteurs pour se sentir en sécurité.
En effet, cela peut rendre difficile la résolution du problème de sentiment de sécurité, car on est constamment à la recherche d’un environnement parfaitement sûr plutôt que de développer un sentiment de sécurité interne.
Anxiété constante
En ayant une pensée conditionnée selon laquelle le sentiment de sécurité est directement lié à l’absence de dangers tangibles, :
– On peut devenir anxieux et obsédé par la recherche constante de sécurité.
– En conséquence, cela peut entraîner une vigilance excessive, des comportements d’évitement et une détresse émotionnelle continue.
– Plus encore, cette anxiété constante peut rendre difficile la résolution du problème de sentiment de sécurité.
Illusion de contrôle absolu
Si l’on croit que le sentiment de sécurité implique d’avoir un contrôle absolu sur son environnement,
– on peut se retrouver frustré et impuissant face aux nombreux aspects de la vie qui échappent à notre contrôle.
– Donc, cela peut nourrir un sentiment d’insécurité et rendre difficile la résolution du problème de sentiment de sécurité, car on est constamment confronté à des situations qui
nous rappellent notre manque de contrôle.
Négligence de ressources internes
Si l’on a une pensée conditionnée selon laquelle le sentiment de sécurité dépend uniquement des facteurs externes, on peut négliger les ressources internes et les capacités d’adaptation dont nous disposons. Ainsi,ces ressources internes, telles que la résilience, l’estime de soi et les compétences en gestion du stress, peuvent jouer un rôle crucial dans le développement d’un sentiment de sécurité durable. En ignorant ces ressources, on peut avoir du mal à résoudre le problème de sentiment de sécurité.
Pour résoudre le problème du besoin de sécurité, IL EST DIT QUE :
Si l’on adopte une perspective plus ouverte et moins conditionnée sur le besoin de sécurité, on peut reconnaître qu’il s’agit d’une combinaison de facteurs internes et externes
Si l’on comprend que le sentiment de sécurité découle également de notre capacité à cultiver un état d’esprit résilient, à gérer notre stress et à développer des stratégies d’adaptation face aux défis.
En remettant en question nos croyances conditionnéesnous pouvons commencer à explorer des techniques et des approches qui favorisent un sentiment de sécurité intérieure, telles que la pratique de la pleine conscience, la recherche de soutien social, le renforcement de l’estime de soi et l’acquisition de compétences d’adaptation face au stress.
OR, pour résoudre le problème du besoin de sécurité :
Il ne s’agit pas uniquement d’optimiser nos capacités d’adaptation
Il s’agit essentiellement d’avoir une autre vision sur l’insécurité
Le manque de confiance en soi et la manière de l’aborder sont souvent les mêmes.
Raisons pour lesquelles une personne peut avoir du mal à résoudre son manque de confiance en elle-même :
Résoudre efficacement le problème de la confiance en soi, il est important, c’est comprendre les raisons pour lesquelles certaines personnes ont du mal à y parvenir.
En voici les principales raisons :
Auto-dévalorisation à cause d’échecs passés.
Les échecs passés peuvent entraîner une diminution de la confiance en soi et, en conséquence, une perception négative de ses capacités.
Attentes irréalistes.
Souvent, nous nous imposons des attentes élevées et irrationnelles quant à ce que nous devons accomplir, ce qui peut être décourageant et nuire à notre confiance en nous-mêmes.
Manque de prise de risque
La peur de prendre des risques et de sortir de sa zone de confort peut limiter notre croissance personnelle. Souvent, cette peur est alimentée par des préjugés selon lesquels il ne faut pas ressentir de la peur pour prendre des risques.
Pour aborder ce problème de confiance en soi, il est dit qu’il faut :
Adopter une perspective plus ouverte sur la confiance en soi
Reconnaître que la confiance en soi est une compétence qui peut être développée et renforcée.
Comprendre que la confiance en soi provient d’une combinaison de facteurs internes
La connaissance de soi, l’estime de soi et la volonté de prendre des risques calculés contribuent tous à la confiance en soi.
Remettre en question les croyances conditionnées
Explorer des stratégies et des techniques qui favorisent la confiance en soi, telles que l’auto-compassion, l’acceptation des échecs comme des opportunités d’apprentissage, la fixation d’objectifs réalisables et la pratique de la résilience face aux obstacles.
Bien sûr, tout ceci n’est pas mauvais en soi, mais demande tellement de temps, d’énergie, de persévérance. Et, de toute façon, cela semble si fragile.
Or, résoudre ce problème de confiance en soi en l’abordant d’une autre manière :
ne consiste pas seulement à “avoir” confiance, à “gagner “en confiance ou à “oser”
mais, en réalité, consiste à remettre en question nos croyances sur la confiance en soi. L’idée principale afin est de passer d’une mentalité où nous essayons d’AVOIR confiance à une mentalité où nous SOMMES confiance.
Vous l’aurez compris :”Etre” confiance, cela change tout !
Et, de plus, il y a une bonne nouvelle : c’est à la portée de tous !
Dans certains domaines, remettre en question nos pensées peut être difficile en raison de divers obstacles.
Apprenez à réévaluer vos pensées pour vous libérer intérieurement en surmontant les obstacles, afin de favoriser votre développement personnel et trouver des solutions créatives.
Réévaluer nos pensées pour nous libérer intérieurement : les obstacles
Attachement émotionnel : quand on se préoccupe plus de l’émotion que de réévaluer nos pensées, nous sommes comme un lion en cage. Nous ne pouvons pas nous sentir intérieurement libres
Peur de l’inconnu : surmonter l’anxiété liée à la réévaluation des pensées et embrasser de nouvelles perspectives. La “zone de confort” n’est qu’une zone de souffrance à laquelle on tient uniquement parce qu’on y est habitué. Mais, il faut savoir que c’est elle qui nous empêche d’avancer. Ce qui est en vous ne partira pas. Mais en ayant un nouvel éclairage sur ce qui vous constitue, d’une part, et une nouvelle manière d’appréhender les choses futures, d’autre part, vous vous sentirez, de plus en plus, libéré intérieurement.
Influence sociale et culturelle : comment faire face à l’influence de notre environnement dans la réévaluation des pensées. Il s’agit ici de continuer à vivre en société, bien évidemment, mais de ne pas en être dépendant, de ne pas lui “donner votre âme”.
Biais de confirmation : surmonter le biais de confirmation pour une remise en question objective des pensées conditionnées. Si vous pensez que les choses se confirment alors que vous n’avez pas réévalué vos pensées, alors vous faites une confirmation de quelque chose de…faux.
Rigidité mentale : cultiver la flexibilité mentale pour faciliter la réévaluation des pensées et des croyances. La vie est mouvement, quand vous restez dans la rigidité, vous êtes en discordance par rapport à la Vie. Tout est alors division. Rien n’est fluide quand vous n’êtes pas libéré intérieurement.
Réévaluer nos pensées, et se libérer intérieurement : les bienfaits
Favorise le développement personnel : le développement personnel est en fait le dé-veloppement de l’unique qui est en vous et qui est caché par l’enveloppe dans laquelle vous avez été mis(e). Donc qui ne vous donne pas la possibilité de vous libérer intérieurement
Fait émerger le potentiel créatif : réévaluer vos pensées ne vous fera pas devenir le peintre ou le sculpteur du siècle. Quoique… si mais celui de votre Existence.
Favorise la résolution efficace des problèmes : réévaluer ses pensées permet de ne pas s’arrêter tant qu’on n’a pas trouvé de solutions.
En conclusion, reconsidérer nos pensées peut être entravé par des obstacles tels que l’attachement émotionnel, la peur de l’inconnu, l’influence sociale, le biais de confirmation et la rigidité mentale. Cependant, en développant une attitude ouverte et en adoptant des stratégies spécifiques, nous pouvons nous libérer intérieurement. Une réévaluation productive de nos pensées favorise le développement personnel, l’innovation et la résolution efficace des problèmes.
Ma mission est de faire descendre les passagers du « train infernal » des pensées –convoi de souffrance psychologique- afin qu’ils puissent choisir la voie de la sérénité.
Nos peurs, jugements et croyances nous séparent des autres, mais aussi de nous-mêmes. Cette division intérieure déséquilibre la part des 4 éléments qui nous constituent, et nous relient à la Nature et à l’Univers.
Le voyage intérieur réussi, c’est possible quand on vide sa valise des encombrants qui polluent notre bien-être.
LES ELEMENTS DU VOYAGE INTÉRIEUR
Ces quatre éléments se retrouvent, en effet, dans notre fonctionnement humain :
. la Terre (squelettes et autres solides du corps) régit notre sphère physique
. l’Eau (dans notre sang et nos cellules) régit notre sphère émotionnelle
. Le Feu (notre énergie vitale) régit notre sphère spirituelle
A l’échelle de l’Univers, outre la Terre et nous-mêmes, des planètes symbolisent aussi lesdits éléments.
Par exemple, la Lune s’apparente à l’Eau (espace émotionnel), Mercure à l’Air (espace mental) et Jupiter au Feu (espace spirituel).
Quand un ou deux éléments sont en carence ou en excès, cela provoque des maladies physiques mais aussi des problématiques psychologiques et comportementales.
LES PARCOURS DU VOYAGE INTÉRIEUR
Le voyage intérieur réussi, en toutes circonstances, s’effectue par différents parcours « en train » au travers de la voie lactée.
Chaque circuit ira à la rencontre de planètes représentatives des 4 éléments.
Ainsi j’agirai sur le « mal du transport » quand :
. le manque de confiance en soi obstrue le chemin de « Faire »
. le besoin de sécurité est une barrière profonde
. la dépression nous ralentit, voire nous arrête en milieu de voie
. la colère signale une trop grande pression
. le stress provoque des étincelles sur les rails
. le burn-out nous laisse sur le quai
CONCLUSION
Pendant votre Vie, vous avez un parcours social, familial, personnel. Peut-être ferez-vous aussi des voyages autour du globe ?!
La Vie intérieure aussi est un grand voyage. A nous de le rendre le plus heureux possible ! C’est possible de le réussir d’autant qu’il dépend entièrement de nous-mêmes.
…permet d’oser vivre SA Vie, d’une part, et d’avoir des relations épanouies, d’autre part.
L’image de soi”, c’est tout le processus mis en place dès le plus jeune âge et qui nous empêche d’être nous-même. Nous allons voir comment il s’installe. Puis nous étudierons modalités. Ensuite, nous listerons les raisons pour lesquelles nous nous y accrochons. Enfin, des outils seront proposés pour s’en libérer.
LA STRUCTURE DE “L’IMAGE DE SOI”
DÉFINITION
Concrètement, l’image de soi, c’est la façon dont :
. non seulement vous vous voyez et ce que vous croyez être en tant que personne,
. mais aussi ce que vous êtes supposé être aux yeux des autres.
Cela correspond donc à une sorte de schéma mental qu’un individu se fait de lui-même :
. la perception globale de sa propre identité physique et psychologique, ce qui constitue sa personnalité. C’est-à dire les caractéristiques qui le spécifient dans une catégorie par rapport
à d’autres catégories. La personnalité n’est pas le fait de l’unique d’une personne.
. choses qu’il apprend à travers une combinaison d’événements, d’auto-appréciation et de jugements extérieurs
C’est ainsi que cette image de soi se façonne dès votre naissance, mais vous n’en êtes pas encore conscient à ce moment-là. Elle constitue la manière dont vous vous percevez aujourd’hui.
Prenons l’exemple suivant :
Une maman a un souci. L’enfant le ressent et lui demande :
– Tu ne vas pas bien, maman ?
La maman, pour rassurer son enfant, lui répond :
– Mais non, pourquoi dis-tu cela, tout va bien
L’enfant insiste :
– Tu es certaine, maman parce que je ne te trouve pas comme d’habitude
Et la maman continue à esquiver :
– Tout va bien, ne t’inquiète pas. Tu peux aller jouer avec ton frère…
Bien sûr l’intention de la maman n’est pas de mentir à son enfant mais de l’épargner. Cependant, en faisant cela, l’enfant finit par penser qu’il ne peut pas se fier à ses ressentis. Plus tard, dans sa vie d’adulte, il risque fort d’adopter ce schéma : “Je ne dois pas me fier à mes ressentis car ils sont faux”
CARACTÉRISTIQUES AVANT DE SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
Il est clair que l’image que nous avons de nous-mêmes est définie par le rapport entre l’image que nous percevons de nous et l’image d’un soi perçu comme idéal.
A noter que cette image ne correspond pas toujours à la façon dont les autres nous perçoivent.
L’image de soi est un schéma mental que l’individu se fait de lui-même, au travers :
. de sa PERSONNALITÉ : qui est un ensemble de caractéristiques par rapport à d’autres ensembles de caractéristiques. Ex : toutes les personnes se considérant comme timides ET généreuses
. des JUGEMENTS extérieurs appris entrainant une AUTOAPPRÉCIATION FIGÉE
. de la RECHERCHE D’UN IDÉAL : rapport entre l’image perçue et l’image désirée
Ainsi, l’image de soi dépend de notre :
1. conditionnement mental : ce que les adultes disaient de nous lorsque nous étions enfants.
2. image mentale corporelle : l’image que nous nous faisons de notre corps.
3. jugement sur nous-mêmes et de désir d’idéal
4. relation interpersonnelle : nous consacrons parfois du temps à nous comparer aux autres.
En clair, cette image c’est l’ Ego.
Modalités de “l’image de soi”
– Tellement habituelle et constance que nous n’avons aucun DOUTE.
Dans le cadre d’une rencontre avec quelqu’un, je vais :
– si je suis bien : avoir besoin ou envie que la personne voit comme je suis en pleine forme ?
– si je vais mal : me préoccuper de l’opinion peu favorable éventuelle
– Image de l’autre : mémoire de nos rencontres, accords, désaccords
En me rencontrant, l’Autre prend aussi un masque pour paraître…idéal ou conforme/ma mémoire
DE CE FAIT, si nous ne sommes pas libérés de “l’image de soi”, TOUTE RELATION DIRECTE A SOI-MÊME OU AUTRUI EST RARE…
POURQUOI SE LIBERER DE L’IMAGE DE SOI EST SI DUR ?
. Non examen de qui l’on est vraiment
. Intervient la PEUR d’être qui l’on est
. Surgit la PEUR de ne pas plaire et d’être seul
. Est installée la PEUR de ne pas être conforme/critères sociétaux
. Sous-jacente, agit la PEUR de n’être plus rien : qui suis-je si je ne me définis pas avec des mots ? Exemple : nous sommes attentifs de nos vêtements, beaucoup plus pour renforcer l’image favorable que nous avons ou désirons de nous-mêmes Exemple : Que va-t-on dire ou penser si…. ? Vais-je être ridicule ? Serai-je apprécié ou rejeté ?
CE QUI EST GENERALEMENT PRÉCONISE POUR SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
1.PRENDRE CONSCIENCE DES IMAGES MUTUELLEMENT PROJETÉES
. ce qui me dérange chez l’autre et que je veux changer est en moi
. ce que l’autre critique ou veut changer de moi est en lui
2.AMÉLIORER L’ESTIME DE SOI
. prendre conscience de ses qualités
. relativiser
. se récompenser
. relever des défis
. ne pas être trop sévère envers soi-même
Ce sont en effet de bons indicateurs mais si on allait plus loin…
SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”, C’EST :
Libérer le “SOI”
1. NE PAS «ANALYSER” MÉTHODIQUEMENT
On se fiche du pourquoi. Ce que l’on souhaite c’est le “comment”.
2. ADMETTRE QUE JE PUISSE ÊTRE BON, GENEREUX, POSSESSIF, MÉCHANT, CUPIDE, AMBITIEUX -le tout avec amour et compréhension). Reconnaitre ce qui est RÉEL.
Bien avant le fameux “développement personnel”, deux “célébrités” nous disaient :
« Chacun est appelé, par une vie JUSTE, à prendre en compte ce qu’il est » (Aristote)
« Deviens qui tu es… » (Socrate)
Exemple : si vous reconnaissez être menteur et que quelqu’un vous traite de menteur, cela ne signifie pas que vous soyez blessé : c’est un fait. Mais si vous prétendez ne pas être menteur et qu’on vous accuse de l’être, vous êtes en colère et réagissez fortement
3.L’ACCEPTATION DE SOI EST LA RECONNAISSANCE DE SA PROPRE RESPONSABILITÉ DANS TOUT CE QUI EST, SUR LE PLAN :
. affectif : oser avoir les ressentis (sentiments, émotions, désirs) que l’on même si l’on va devoir y apporter des transformations
. intellectuel : savoir si l’on sait ou si l’on ne sait pas ce que l’on pense : pensée de la pensée (honnêteté intellectuelle)
. de l’action : oser faire ce qui est nécessaire pour atteindre les buts que l’on se donne
. verbal : confiance que ce que l’on dit correspond à ce que l’on pense à ce qui est à ce que je suis. S’assurer que les mots font passer ce que je pense
. existentiel : oser être soi-même et ne plus être dans le « on » conformiste
« Le bonheur arrive quand ce que tu penses, ce que tu dis et ce que tu fais sont en harmonie » Gandhi (= alignement)
4. INSTALLER LE SILENCE EN NOUS : ATTENTION (= A TENSION = SANS TENSION)
Ou bien l’on pense (dualité, jugement) ou bien on est ATTENTIF (juste observer sans rien faire) : l’a-tension EST silence Exemple : je suis gourmand. La réaction « habituelle » est « je ne dois pas trop manger, ne pas être gourmand, je dois me maîtriser »
Il y a là l’observateur qui cherche à dominer sa gourmandise ou son envie. Que se passerait-il si je ne nommais pas la gourmandise ?
ÊTRE SOI, C’EST SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
. En partant à la recherche de ce qui en moi, peu à peu, a été perdu dans les tâches quotidiennes, les rôles et les masques
. Par la volonté de ne pas se contenter de ce que je suis, mais le devenir
. En ayant confiance. C’est même ÊTRE confiance : sans peur de l’échec, du négatif, du vide (cf inconnu) qui limitait notre accomplissement
. Grâce à l’entrée dans une communication qui est COM-UNION (com = avec)
. Au travers de l’éloignement des IMAGES empêchant l’émergence de mon potentiel créatif (pas dans le sens de vendre ses œuvres mais dans le sens d’apporter ce qui est UNIQUE en moi,
et qui est nouveau et vrai à chaque instant.
LE BONUS COACHING “SE LIBERER DE L’IMAGE DE SOI” : LE MIROIR
Devant un grand miroir qui peut si possible vous refléter en entier, se poser devant, se regarder
Se sourire ? Faire des grimaces ? se parler ? Qu’est ce qui vient ?
Et puis peut-être bouger .
Laisser venir des mouvements naturels
Vous pouvez ajouter un peu de musique ou pas .
Et juste ressentir.
A vous de laisser aller
Soyez bienveillant avec vous, aucune pression aucune recherche de résultat .
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