…permet d’oser vivre SA Vie, d’une part, et d’avoir des relations épanouies, d’autre part.
L’image de soi”, c’est tout le processus mis en place dès le plus jeune âge et qui nous empêche d’être nous-même. Nous allons voir comment il s’installe. Puis nous étudierons modalités. Ensuite, nous listerons les raisons pour lesquelles nous nous y accrochons. Enfin, des outils seront proposés pour s’en libérer.
LA STRUCTURE DE “L’IMAGE DE SOI”
DÉFINITION
Concrètement, l’image de soi, c’est la façon dont :
. non seulement vous vous voyez et ce que vous croyez être en tant que personne,
. mais aussi ce que vous êtes supposé être aux yeux des autres.
Cela correspond donc à une sorte de schéma mental qu’un individu se fait de lui-même :
. la perception globale de sa propre identité physique et psychologique, ce qui constitue sa personnalité. C’est-à dire les caractéristiques qui le spécifient dans une catégorie par rapport
à d’autres catégories. La personnalité n’est pas le fait de l’unique d’une personne.
. choses qu’il apprend à travers une combinaison d’événements, d’auto-appréciation et de jugements extérieurs
C’est ainsi que cette image de soi se façonne dès votre naissance, mais vous n’en êtes pas encore conscient à ce moment-là. Elle constitue la manière dont vous vous percevez aujourd’hui.
Prenons l’exemple suivant :
Une maman a un souci. L’enfant le ressent et lui demande :
– Tu ne vas pas bien, maman ?
La maman, pour rassurer son enfant, lui répond :
– Mais non, pourquoi dis-tu cela, tout va bien
L’enfant insiste :
– Tu es certaine, maman parce que je ne te trouve pas comme d’habitude
Et la maman continue à esquiver :
– Tout va bien, ne t’inquiète pas. Tu peux aller jouer avec ton frère…
Bien sûr l’intention de la maman n’est pas de mentir à son enfant mais de l’épargner. Cependant, en faisant cela, l’enfant finit par penser qu’il ne peut pas se fier à ses ressentis. Plus tard, dans sa vie d’adulte, il risque fort d’adopter ce schéma : “Je ne dois pas me fier à mes ressentis car ils sont faux”
CARACTÉRISTIQUES AVANT DE SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
Il est clair que l’image que nous avons de nous-mêmes est définie par le rapport entre l’image que nous percevons de nous et l’image d’un soi perçu comme idéal.
A noter que cette image ne correspond pas toujours à la façon dont les autres nous perçoivent.
L’image de soi est un schéma mental que l’individu se fait de lui-même, au travers :
. de sa PERSONNALITÉ : qui est un ensemble de caractéristiques par rapport à d’autres ensembles de caractéristiques. Ex : toutes les personnes se considérant comme timides ET généreuses
. des JUGEMENTS extérieurs appris entrainant une AUTOAPPRÉCIATION FIGÉE
. de la RECHERCHE D’UN IDÉAL : rapport entre l’image perçue et l’image désirée
Ainsi, l’image de soi dépend de notre :
1. conditionnement mental : ce que les adultes disaient de nous lorsque nous étions enfants.
2. image mentale corporelle : l’image que nous nous faisons de notre corps.
3. jugement sur nous-mêmes et de désir d’idéal
4. relation interpersonnelle : nous consacrons parfois du temps à nous comparer aux autres.
En clair, cette image c’est l’ Ego.
Modalités de “l’image de soi”
– Tellement habituelle et constance que nous n’avons aucun DOUTE.
Dans le cadre d’une rencontre avec quelqu’un, je vais :
– si je suis bien : avoir besoin ou envie que la personne voit comme je suis en pleine forme ?
– si je vais mal : me préoccuper de l’opinion peu favorable éventuelle
– Image de l’autre : mémoire de nos rencontres, accords, désaccords
En me rencontrant, l’Autre prend aussi un masque pour paraître…idéal ou conforme/ma mémoire
DE CE FAIT, si nous ne sommes pas libérés de “l’image de soi”, TOUTE RELATION DIRECTE A SOI-MÊME OU AUTRUI EST RARE…
POURQUOI SE LIBERER DE L’IMAGE DE SOI EST SI DUR ?
. Non examen de qui l’on est vraiment
. Intervient la PEUR d’être qui l’on est
. Surgit la PEUR de ne pas plaire et d’être seul
. Est installée la PEUR de ne pas être conforme/critères sociétaux
. Sous-jacente, agit la PEUR de n’être plus rien : qui suis-je si je ne me définis pas avec des mots ? Exemple : nous sommes attentifs de nos vêtements, beaucoup plus pour renforcer l’image favorable que nous avons ou désirons de nous-mêmes Exemple : Que va-t-on dire ou penser si…. ? Vais-je être ridicule ? Serai-je apprécié ou rejeté ?
CE QUI EST GENERALEMENT PRÉCONISE POUR SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
1.PRENDRE CONSCIENCE DES IMAGES MUTUELLEMENT PROJETÉES
. ce qui me dérange chez l’autre et que je veux changer est en moi
. ce que l’autre critique ou veut changer de moi est en lui
2.AMÉLIORER L’ESTIME DE SOI
. prendre conscience de ses qualités
. relativiser
. se récompenser
. relever des défis
. ne pas être trop sévère envers soi-même
Ce sont en effet de bons indicateurs mais si on allait plus loin…
SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”, C’EST :
Libérer le “SOI”
1. NE PAS «ANALYSER” MÉTHODIQUEMENT
On se fiche du pourquoi. Ce que l’on souhaite c’est le “comment”.
2. ADMETTRE QUE JE PUISSE ÊTRE BON, GENEREUX, POSSESSIF, MÉCHANT, CUPIDE, AMBITIEUX -le tout avec amour et compréhension). Reconnaitre ce qui est RÉEL.
Bien avant le fameux “développement personnel”, deux “célébrités” nous disaient :
« Chacun est appelé, par une vie JUSTE, à prendre en compte ce qu’il est » (Aristote)
« Deviens qui tu es… » (Socrate)
Exemple : si vous reconnaissez être menteur et que quelqu’un vous traite de menteur, cela ne signifie pas que vous soyez blessé : c’est un fait. Mais si vous prétendez ne pas être menteur et qu’on vous accuse de l’être, vous êtes en colère et réagissez fortement
3.L’ACCEPTATION DE SOI EST LA RECONNAISSANCE DE SA PROPRE RESPONSABILITÉ DANS TOUT CE QUI EST, SUR LE PLAN :
. affectif : oser avoir les ressentis (sentiments, émotions, désirs) que l’on même si l’on va devoir y apporter des transformations
. intellectuel : savoir si l’on sait ou si l’on ne sait pas ce que l’on pense : pensée de la pensée (honnêteté intellectuelle)
. de l’action : oser faire ce qui est nécessaire pour atteindre les buts que l’on se donne
. verbal : confiance que ce que l’on dit correspond à ce que l’on pense à ce qui est à ce que je suis. S’assurer que les mots font passer ce que je pense
. existentiel : oser être soi-même et ne plus être dans le « on » conformiste
« Le bonheur arrive quand ce que tu penses, ce que tu dis et ce que tu fais sont en harmonie » Gandhi (= alignement)
4. INSTALLER LE SILENCE EN NOUS : ATTENTION (= A TENSION = SANS TENSION)
Ou bien l’on pense (dualité, jugement) ou bien on est ATTENTIF (juste observer sans rien faire) : l’a-tension EST silence Exemple : je suis gourmand. La réaction « habituelle » est « je ne dois pas trop manger, ne pas être gourmand, je dois me maîtriser »
Il y a là l’observateur qui cherche à dominer sa gourmandise ou son envie. Que se passerait-il si je ne nommais pas la gourmandise ?
ÊTRE SOI, C’EST SE LIBERER DE “L’IMAGE DE SOI”
. En partant à la recherche de ce qui en moi, peu à peu, a été perdu dans les tâches quotidiennes, les rôles et les masques
. Par la volonté de ne pas se contenter de ce que je suis, mais le devenir
. En ayant confiance. C’est même ÊTRE confiance : sans peur de l’échec, du négatif, du vide (cf inconnu) qui limitait notre accomplissement
. Grâce à l’entrée dans une communication qui est COM-UNION (com = avec)
. Au travers de l’éloignement des IMAGES empêchant l’émergence de mon potentiel créatif (pas dans le sens de vendre ses œuvres mais dans le sens d’apporter ce qui est UNIQUE en moi,
et qui est nouveau et vrai à chaque instant.
LE BONUS COACHING “SE LIBERER DE L’IMAGE DE SOI” : LE MIROIR
Devant un grand miroir qui peut si possible vous refléter en entier, se poser devant, se regarder
Se sourire ? Faire des grimaces ? se parler ? Qu’est ce qui vient ?
Et puis peut-être bouger .
Laisser venir des mouvements naturels
Vous pouvez ajouter un peu de musique ou pas .
Et juste ressentir.
A vous de laisser aller
Soyez bienveillant avec vous, aucune pression aucune recherche de résultat .
L’ego, le « moi » est le facteur qui, dans le monde, est sans doute le plus pollueur qui soit. Produisant une vision déformée du monde et de soi-même, il est l’empêchement majeur à voir la réalité telle qu’elle est car tout doit être déformé par lui pour qu’il l’accepte. Son fondement s’appuie sur des illusions.
SON CONTENU
⏩ Tout ce que l’on pense et croit de soi-même (pensées, représentations ou croyances), à quoi on s’identifie et que l’on entoure d’un mur de protection rigide, censé le protéger de toute attaque : projection, déni, refoulement, etc. qui interdisent de se voir tel qu’on est.
⏩ Réceptacle et opérateur de la fragilité affective : souffrance, vexations, cassures, etc.
L’ESTIME DE SOI ET L’EGO
L’aspiration naturelle à l’amour devient BESOIN de RECONNAISSANCE. Vous recherchez constamment une confirmation externe qui vous rassure temporairement. Ainsi votre conscience se focalise essentiellement sur le monde extérieur.
Vous vous fiez aux jugements des autres. Vous vous crispez sur ce que les gens pensent de vous. En effet, c’est très important pour vous car votre estime de soi dépend de cela.
⏩Le Moi/Ego comprend le sentiment d’importance de soi
LA PERSONNALITÉ ET L’EGO
⏩ Le noyau identitaire de la personnalité, la totalité des identifications, c’est lui !
⏩ Ensuite, l’instance qui rassemble tous nos conditionnements, l’aboutissement de toutes nos attractions-répulsions aussi le positionnement dualiste : positif-négatif ; vrai-faux ; bon-mauvais… c’est lui !
⏩ Qui plus est, le centre de contrôle qui tente de tout soumettre à la volonté et aux désirs, qui ne laisse entrer ou sortir que ce qu’il filtre, c’est encore lui ! Il est important de réaliser que derrière le besoin de contrôler, il y a toujours une peur de perdre le contrôle.
⏩ De surcroît, il n’y a pas de phénomène positif ou négatif en soi. Donc, l’ego est à l’origine des perturbations et des émotions négatives car c’est par son identification qu’un phénomène devient négatif.
Le “Moi et moi” (épisode 1) nous a révélés les critères de l’ego. Nous avons donc découvert que ce n’est pas que de l’orgueil, mais des schémas bien plus profondément ancrés en nous.
Ce sont les conditionnements sociétaux. Mais aussi des moyens de défense que nous avons mis en place pour nous protéger car, trop jeune, nous n’avions la réponse adéquate et sereine. Pour ce deuxième épisode, j’ai fait appel à des…experts en la matière pour expliquer les étapes de sa construction.
En effet, l’enseignement bouddhiste indique 5 étapes :
1. Skandha de la forme : distinction sujet-objet essentiellement par ce qui nous entoure et est perceptible par les sens
2. Skandha de la sensation : prise de position par rapport à l’expérience initiale de la forme, ressentie alors comme positive, négative ou neutre
3. Skandha de la perception : la sensation prend « sens » avec nomination ou conceptualisation qui permet de rendre connue la forme
4. Skandha des formations mentales ou motivation : l’objet identifié suggère réaction et/ou action. Il s’instaure une relation avec cette forme sentie et identifiée
5. Skandha de la conscience : fixation sur cette situation comme étant « son » expérience qui devient propriété. L’état de conscience s’organise
⏩C’est ainsi que le “Moi et Moi”, petit à petit, cache le Soi.
⏩Ce signifie donc que, d’une part, en fonction de son environnement, l’être humain s’approprie les choses, mais, d’autre part et surtout, à “sa” façon, suivant ses propres critères et donc non en fonction de la réalité globale.
⏩On est alors dans la création mentale du “Moi et moi”. Ce sont des croyances qui sont comme des excroissances mentales, ce sont des choses apprises qui nous figent dans un référentiel de bien et de mal et d’identifications diverses et la fermeture de la personne par rapport aux autres, aux choses et à son potentiel.
Après les épisodes 1 et 2 qui nous ont montré tous les critères de l’ego et comment il se construit, le 3ème épisode est celui du « Comment je fais avec ? ».
🔻Tout d’abord, comme il est souvent dit/écrit, il n’est pas possible de « tuer l’ego/moi ». PARCE QUE :
1. Le “moi” est une illusion : on ne peut pas détruire quelque chose qui n’existe pas
2. Dans un tel combat, qui lutterait contre l’ego, si ce n’est moi, donc “moi” contre “moi” : ce serait comme essayer de terrasser son ombre
Qu’il s’agisse du MOI/SOI ou du MOI/EGO, il s’agit toujours de VOUS !
3. Plus on tente de le nier ou de le combattre, plus on renforce son agitation et son pouvoir
4. Aux conditionnements du passé ancrés se rajoutent sans cesse ceux du présent
⏩Et puisqu’on ne peut pas le détruire, il faut le dépasser en comprenant que :
1. le problème que nous pose l’ego c’est son POUVOIR : donc il n’y a pas à détruire l’ego mais il y a à ne pas le laisser prendre le pouvoir
2. ne pas le laisser prendre le pouvoir, ce n’est pas utiliser un contre-pouvoir (ce qui serait encore de l’ordre de l’ego)
3. l’ego est très subtile dans ses agissements et nous incite sans cesse à réagir, donc le seul outil dont nous disposons est la
👀VISION. L’ego, quand il est VU, donc dé-couvert, se dégonfle comme un ballon de baudruche
4. l’OBSERVATION est une action passive….Il ne faut rien faire d’autre que de le 👀VOIR. Tout essai supplémentaire de contrôle lui redonnera de la vigueur.
5. cela demande une vigilance et lucidité PERMANENTES. Le sentiment exponentiel de libération le sera aussi.
👉Avoir une attitude différente ne se fait pas par un claquement de doigts, d’autant moins que l’ancrage est puissant.
👉Je suis là pour vous donner les outils pour qu’ils deviennent les vôtres
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MOYENS CONCRETS et FACILES pour reprendre le boulot avec joie
Reprendre le boulot avec Joie semble pour beaucoup être un défi, voire impossible. Alors qu’il existe plein de moyens concrets et faciles pour aborder cette période d’une façon différente. Ce qui veut que c’est juste une question de préparation mentale, physique.
CONSTAT DE FIN DE VACANCES D’ÉTÉ
1. Premièrement, vague à l’âme de quitter la plage. Limite déprime (on va tout de même éviter le cacheton)
2. Deuxièmement, freins psychologiques pour revenir aux contraintes de temps, c’est-à-dire actions à prévoir ; évènements imprévus (package “génial!!!)
3. Ensuite, répulsion à l’idée de devoir changer son rythme de sommeil et mettre le réveil (pouah)
4. Et en plus les jours raccourcissent (horreur !!!)
MÉTHODE POUR REPRENDRE LE BOULOT AVEC JOIE
1. SE RAPPELER QUE :
. C’est chaque année, c’est pareil au moment de reprendre le boulot. Or, on sait que, pris dans le feu de l’action, finalement cela passe très vite
. Comme pour le “blues du dimanche soir”, on peut en conclure que c’est le passage “avant” qui est délicat
2. REPRENDRE LE BOULOT AVEC JOIE, MOYENS CONCRETS ET FACILES “AVANT”
Le cerveau enregistre les nouvelles habitudes. Donc lui laisser le temps de se réadapter..
. Se préparer mentalement. Ce qui signifie ne pas être dans le déni tout en profitant jusqu’au bout de son temps de vacances
. Se préparer concrètement :
– alors que vous êtes encore en vacances, faire une liste des actions à entreprendre (hé oui le joli agenda est déjà là !)
– même si vous êtes allongé sur le sable lire un livre lié à son activité
– bien qu’ayant pris son temps pour le petit-déjeuner, prendre ses repas à heures fixes
– sauf si vraiment vos doigts disent le contraire, envoyer un mail sympa à un collègue pour prendre de ses nouvelles et lui souhaiter bon…courage
. Se préparer physiquement
– En vue du “grand bouleversement”, il est nécessaire de se coucher ET se lever plus tôt PETIT A PETIT (de 10 minutes en 10 minutes)
– Reprendre, si possible, l’entrainement d’une activité sportive pratiquée dans l’année (ou au moins quelques assouplissements)
– De la même manière, consacrer à heures fixes quelques instants de relaxation (peu importe la technique). Excellente habitude à prendre dès maintenant
3.REPRENDRE LE BOULOT AVEC JOIE, MOYENS CONCRETS ET FACILES “APRÈS”
. Entre autres, organiser une soirée entre amis dans les 15 jours suivants, afin de donner une perspective de la détente déjà tant désirée
. Et même, prendre le programme TV et surligner les programmes qui nous font baver d’envie
. Outre cela évoquer en couple/famille les prochaines vacances, avec photos alléchantes à l’appui
. Enfin, le nec plus ultra, mettre en place l’organisation et la répartition des taches de chacun, sous forme d’un jeu : mimer la tache par exemple
EN RÉSUMÉ
. Se mettre assez tôt en tête que tout a un temps : donc tout s’arrête, tout redémarre. Pour que cela redémarre, il faut que cela s’arrête
. Le temps de travail n’est pas un temps de torture. Bien au contraire, il nous permet d’apprécier les…vacances
. Le problème n’est pas de reprendre le boulot. A vrai dire, c’est dans quel état d’esprit et comment on s’y prend
. Quand on s’en donne les moyens, on arrive à tout. Et, si l’on y songe, c’est bien plus agréable que d’y aller au “petit bonheur la chance” et donc de partir en vrille…la veille….
J’espère que tous ces conseils vous seront fort utiles, à condition de les appliquer évidemment !
Et je vous souhaite une excellente rentrée, frais et dispos !!!
Les pensées sont ta souffrance quand elles ruminent. Ta souffrance est BON SIGNE : ça travaille en toi.
Et tu te dis : “BYE BYE LA RUMINATION ! Allez je questionne la chose…”
Ruminer c’est souffrir. Souffrir c’est ruminer. Alors demande toi quel est le message transmis par la souffrance de tes pensées pour dire BYE BYE A LA RUMINATION
C’est une enquête passionnante :
. Quelle était ma pensée juste avant mon émotion ?
. Cette pensée arrive-t-elle pour la première fois ?
. Cette pensée ne correspond-elle pas à ce qu’on (famille/amis/autres) a voulu me faire croire de moi ?
. Pourquoi devrais-je me fier à leur opinion ?
. Si je suis comme je pense devoir être, qu’est-ce qui se passera ?
. Ai-je une vraie justification d’avoir peur ? Ma vie est-elle en danger pour autant ?
. Qu’ai-je à perdre en me faisant confiance à part des “amis” qui n’accepteraient pas mon authenticité ?
On n’est pas dépendant de l’alcool, du tabac ou de l’amour parce que l’on souffre, mais parce que l’on est dépendant de la souffrance
Tu rumines des pensées et tu souffres. Surtout ne t’en veux pas de…souffrir, mais vois ta souffrance et regarde le processus décrit au-dessus.
Accueille ta souffrance, ayez ensemble un dialogue.
Puis reviens à tes occupations et concentre toi totalement sur elles, après votre échange, pas avant -ce qui serait une fuite.
Le regard sur la Vie est très différent quand, au lieu de résoudre des problèmes, on relève des défis – BYE BYE LA RUMINATION MENTALE
Les émotions, qu’elles soient agréables ou désagréables, font partie de la nature humaine. Pourquoi faire semblant et croire qu’il est possible de vivre uniquement celles qui nous “arrangent”, en tout cas à première vue.
Premièrement, cela veut dire qu’on est à demi-humain (puisqu’on rejette la moitié de la vie) ; deuxièmement tes émotions désagréables te permettent d’avancer sur le chemin de la sérénité si tu suis les recommandations ci-dessus.
Les émotions, dites agréables, t’apportent un moment de joie ; les émotions, dites désagréables, doivent t’apporter un moment de réflexion, un apport à la connaissance de qui tu es vraiment.
Prendre avec courage (coeur à l’ouvrage) les deux, cela s’appelle VIVRE dans un bien-être : bonheur d’Etre…
Le courage d’être Soi : c’est mettre du coeur à l’ouvrage du Soi – Je deviens responsable -BYE BYE LA RUMINATION MENTALE
Le passé a fait de moi ce que je suis au présent. Or cela ne veut pas dire que cela doit durer toute ma vie.
J’ai emmagasiné des faits, des dires qui sont devenus des perceptions, puis des émotions sans que je ne puisse intervenir pour les accepter ou non : une vraie éponge.
Mais maintenant, j’apprends à voir tout cela (que ce soit des choses passées ou dans l’instant). Et comme je suis responsable, je regarde puis je décide de ce que je fais de la partie de mon mental qui apparaît.
Est-ce que je fuis ? Alors je prends le risque que cela se représente plus sournoisement, voire plus fortement ?
Est-ce que je souffre en me soumettant ? Ah bon, maso alors ??!!
Est-ce que je souffre le temps de percevoir et de décider de faire l’enquête ? Hum Hum bien intéressant ce phénomène…
Quitter la prison du mental : 3 clefs fondamentales ? Ah bon !?
Quitter la prison du mental ne s’apprend pas à l’école.
Votre bien-être intérieur n’a pas de prix. Rien ne peut d’ailleurs l’acheter. Mais vous disposez de 3 clefs fondamentales d’accomplissement.
Hé oui parce qu’il ne s’agit pas de faire travailler votre mémoire pour retenir toutes les recettes à appliquer pour vous sentir serein tout au long de vos journées. Il s’agit de VOIR et de LIBERER votre potentiel d’action qui se trouve au FOND de VOUS-MEME, grâce à trois éléments essentiels qui couvrent toute l’étendue de votre Existence.
Mais surtout ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Tout au long de mon étude personnelle, j’ai énormément lu d’ouvrages sur le développement personnel, la pleine conscience, la psychologie existentielle. Et je continue, même en tant que consultante, car le travail de découverte de Soi ne s’arrête jamais. Et tant mieux, car c’est passionnant à vivre au quotidien. Tellement que cela devient essentiel. La dispersion qui consiste à combler LE vide existentiel n’est plus de mise.
“A quoi bon l’aurore, si elle vous laisse dans l’inconscient et le rêve ?
VOTRE RESPONSABILITÉ INTÉRIEURE : LE PREMIER SECRET
Depuis très longtemps, j’ai considéré que chacun devait acquérir sa responsabilité intérieure. C’est aussi cela grandir.
Mon expérience personnelle (enfance, construction de ma vie d’adulte, voyages, relations) et mon parcours professionnel (enseignement, consultations ) m’ont amenée à deux constats :
Beaucoup de personnes ont le courage de “souffrir” et pas le courage (constant) de “guérir” (le courage c’est à l’origine le “coeur à l’ouvrage”).
Beaucoup lisent des livres qui les “dé-livrent” mais de manière provisoire…puis ils retombent dans les affres du mental avant de trouver un autre “trésor” qui va leur “parler”, etc. etc.
Depuis que je me connais…un peu… je sais que j’ai toujours trouvé invraisemblable que l’être humain souffre… Bien sûr de par sa condition de lutte pour sa survie, de par les instincts d’autrui parfois primaires et/ou égocentriques et/ou mégalomaniaques à subir.
Mais surtout, j’ai depuis…longtemps trouvé inouï qu’une personne se fasse du mal à elle-même psychologiquement, c’est-à-dire par le biais de ses propres pensées.
Quand je l’ai compris, je n’ai eu de cesse de vouloir partager, communiquer mes découvertes.
Je vais vous “délivrer”…un premier secret : ces deux phénomènes sont liés au fait que la découverte et la compréhension intellectuelles ne suscitent pas un engagement suffisant ni dans l’espace ni dans le temps.
LA RESPONSABILITÉ DE VOTRE ÉTAT INTÉRIEUR : LE DEUXIÈME SECRET
“Ne cherchez pas une réponse, mais entendez ce que vous venez d’apprendre en questionnant”
Notamment :
C’est quoi le Soi-même dont on parle tant dans la Connaissance de soi ?
Comment le dualisme et la fragmentation intérieure sont à l’origine de vos conflits ?
Que faire de ses pensées et émotions ?
Que dire de la quête d’un “Sens à la Vie” ?
Je vous dis à bientôt pour plein d’outils pour avancer, avec un mental léger, dans votre Vie
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